Les voix de la satisfaction : Histoires vraies, expériences réelles
Découvrez des témoignages authentiques et honnêtes de personnes satisfaites. Plongez dans une collection d’opinions perspicaces, chacune accompagnée d’une photo fascinante de la personne et de son opinion sur le projet de la DG-ETV.
Plongez dans les voix authentiques de notre communauté, qui partagent leur point de vue unique sur l’excellence de nos produits et leur lien avec notre travail.
Faites confiance aux témoignages, voyez les visages et explorez leurs histoires. 🚀 🚀
Nos membres ! 👇🏽
Sergi Queralt , Belgique 🇧🇪
Sergi Queralt est un spécialiste des affaires publiques européennes possédant une vaste expérience dans les domaines des affaires sociales et de l’emploi. Né à Barcelone, il s’est spécialisé en psychologie organisationnelle et en administration des affaires. Il a complété ses études par une maîtrise en études européennes, suite à son profond intérêt pour l’élaboration des politiques européennes. Depuis 2015, il travaille à Bruxelles dans plusieurs institutions et associations européennes. Depuis 2022, il est responsable des opérations de secrétariat du Geopa, le groupement européen des employeurs des organisations professionnelles agricoles.
Entretien avec des membres du NSAG : Geopa
1 Merci de nous en dire plus sur le parcours de Geopa.
Suite au traité de Maastricht, le Geopa a été créé en 1993 pour travailler sur les aspects sociaux et d’emploi de l’agriculture européenne. Depuis 1999, le Geopa est officiellement reconnu par l’Union Européenne comme le groupement patronal du secteur en Europe. A ce titre, le Geopa fait partie du comité de dialogue social sectoriel européen pour l’agriculture, et donc l’un de ses partenaires sociaux. Aujourd’hui, nous représentons 22 associations patronales nationales du secteur, qui emploient près de 9 millions de salariés en Europe.
Ces dernières années, Geopa a accru ses activités sur plusieurs plateformes européennes de premier plan. Parmi les plus importants, nous avons rejoint la plateforme européenne de lutte contre le travail non déclaré, nous sommes devenus un membre clé des groupes de dialogue civil pour l’agriculture et un membre clé du pacte agroalimentaire pour les compétences. Par ailleurs, nous sommes également engagés dans plusieurs projets européens abordant le dialogue social, les compétences, la santé et la sécurité.
2 Quel est pour vous le plus grand succès que Geopa ait obtenu jusqu’à présent dans votre domaine de compétence ?
Si nous regardons l’histoire récente de notre association, nous pouvons facilement constater à quel point notre présence et notre représentativité n’ont cessé d’augmenter. Notre plus grande réussite réside dans le respect, l’attention et la reconnaissance que les institutions et les décideurs politiques européens accordent à notre voix. Un très bon exemple en est notre participation directe au dialogue stratégique sur l’avenir de l’agriculture lancé en janvier par la présidente Von der Leyen.
3 Quelle est selon vous la valeur ajoutée du projet de la DG VET par rapport au matériel de formation existant pour la transition vers une économie verte-numérique ?
Les projets comme la DG VET sont exactement le type d’initiatives dont le secteur a besoin en ce moment. Ces dernières années, l’agriculture est devenue l’industrie où les travailleurs sont les plus âgés et où la pénurie de main-d’œuvre est la plus importante de toutes. Dans un secteur comme le nôtre, la planification à long terme est essentielle. Nous devons donc trouver des solutions permanentes à un problème qui trouve ses racines dans la situation démographique globale de notre syndicat. Face à un net déclin démographique, dans notre manifeste récemment publié pour les élections européennes, nous proposons une nouvelle orientation pour numériser et automatiser notre secteur. Avec cette refonte complète de notre emploi, nous visons à réduire les coûts, à optimiser les opérations commerciales, à réduire le besoin de main-d’œuvre manuelle et à augmenter notre offre d’emplois hautement qualifiés et plus attractifs tels que l’ingénierie, l’analyse de données et la programmation. Des emplois plus attractifs et de bonnes perspectives de carrière contribueront également au renouvellement générationnel indispensable et, à terme, à une amélioration significative de notre impact sur l’environnement. Toutefois, cette transition nécessitera des investissements lourds et un soutien fort des décideurs politiques et des administrations publiques. D’un autre côté, les nouveaux agriculteurs et employés devront être bien mieux préparés à assumer les nouvelles tâches. C’est là qu’un projet comme la DG VET peut faire la différence, à la fois en termes de formation des nouvelles générations à ce que l’on appelle l’agriculture 4.0 et en présentant en même temps notre secteur comme une opportunité de carrière attractive pour la population NEET.
4 De quelle manière pensez-vous que la collaboration entre le projet DG VET et Geopa peut bénéficier dans le présent et dans le futur ?
Geopa est un membre clé du pacte agroalimentaire européen pour les compétences, que j’ai l’honneur de coordonner avec FoodDrinkEurope . Avec cette initiative, nous proposons une plateforme d’échange pour aider les acteurs du secteur travaillant sur les compétences à améliorer l’impact et la durabilité à long terme de leurs activités. Les projets européens sont également les bienvenus à rejoindre la plateforme, et nous en avons déjà plusieurs : Fields, I-Restart, Social Dialogue for Skills, Eqvegan et Askfood . De plus, nos membres et leurs experts sont toujours disponibles pour soutenir vos actions au niveau national et régional et explorer de futures opportunités de collaboration.
Liens vers les prises de position du Geopa :
Anna Nicolaou, Chypre 🇨🇾
Anna est chercheuse dans le domaine de l’éducation environnementale (EE) et de l’éducation au développement durable (EDD). Elle a travaillé à l’Université Frederick et à l’Université européenne en tant que chargée de cours invitée dans l’enseignement de l’EE/EDD. Ses intérêts de recherche se concentrent sur la conception et la mise en œuvre de programmes environnementaux et de développement durable dans l’éducation formelle, informelle et non formelle, ainsi que sur le développement professionnel des individus en EE/EDD.
Elle a donné des conseils et des services aux entreprises sur la manière de devenir durable sur les plans environnemental, social et économique. Elle est l’auteur de divers supports pédagogiques sur les questions de développement durable. Elle a publié et présenté ses travaux dans des revues scientifiques internationales EE/EDD et lors de conférences internationales. Elle a fait partie de l’équipe scientifique chargée de la préparation de la stratégie nationale pour l’EE/EDD à Chypre. Elle possède une longue expérience en EE/EDD et dans la formation d’étudiants, d’enseignants, d’individus, d’entreprises et de divers groupes cibles aux questions d’EE/EDD, ainsi que dans le développement et la mise en œuvre de programmes d’études. Elle travaille actuellement à l’Institut pédagogique de Chypre au Département de l’éducation pour le développement durable.
Entretien avec des membres du GCNA : STANDO
- Veuillez nous en dire plus sur le parcours de l’Institut pédagogique de Chypre.
L’Institut pédagogique de Chypre a été créé en 1972 par décision du Conseil des ministres avec pour mission de fournir une formation continue aux enseignants de tous niveaux, de les informer sur les tendances modernes de l’éducation, de documenter la recherche et la théorie de la politique éducative à mettre en œuvre. suivi et pour accompagner les enseignants dans leurs efforts de développement professionnel et personnel. L’Institut pédagogique propose une formation aux éducateurs de toutes les écoles d’enseignement secondaire, technique et professionnel de Chypre.
- Quel est le plus grand succès que l’Institut pédagogique de Chypre ait obtenu jusqu’à présent dans votre domaine de compétence ?
L’Institut pédagogique propose une formation aux éducateurs de toutes les écoles d’enseignement secondaire, technique et professionnel de Chypre. L’Institut vise à développer les compétences professionnelles des professionnels dans le cadre d’une formation et d’un apprentissage expérientiel et d’expériences pratiques à travers des ateliers, des laboratoires et des environnements de travail simulés. Le développement de compétences générales telles que la prise de décision, la résolution de problèmes, la pensée critique, l’adaptabilité et le travail d’équipe sont au centre des activités.
Anna est activement impliquée dans l’institut pédagogique depuis plus de 15 ans et, en plus d’être formatrice d’EFP et d’adultes, elle a également participé à la conception de matériels pédagogiques pour soutenir l’expérience d’apprentissage et de formation et a dispensé une formation axée sur l’éducation au développement durable, l’éducation circulaire. économie et numérisation de l’éducation.
- Selon vous, quelle est la valeur ajoutée du projet de la DG VET par rapport au matériel de formation existant pour la transition vers une économie verte-numérique ?
En tant que membre du groupe consultatif stratégique national, qui fournit un retour d’information et une évaluation des résultats du projet DG-VET, Anna évalue le matériel de formation de la DG-VET comme suit : « Le programme de formation de la DG-VET est bien conçu et offre un ensemble complet de modules qui fourniront une base solide aux jeunes et aux femmes NEET pour faire leurs pas dans les secteurs de l’économie numérique et verte. Les supports produits dans le cadre du projet DG-VET nous aideront, moi et mes collègues, à enrichir la formation que nous proposons, notamment sur le développement des compétences vertes, l’atténuation du changement climatique et les déficits de compétences technologiques.
- De quelle manière pensez-vous que la collaboration entre le projet de la DG VET et l’Institut pédagogique de Chypre peut être bénéfique aujourd’hui et à l’avenir ?
L’Institut pédagogique propose une formation aux éducateurs de toutes les écoles d’enseignement secondaire, technique et professionnel de Chypre. Par conséquent, accroître les connaissances des enseignants sur les secteurs de l’économie verte et numérique grâce au projet DG-VET permettrait aux enseignants de transférer leurs connaissances à leurs élèves. , qui seront encouragés à poursuivre des carrières dans les secteurs de l’économie numérique et verte.
Sandrine Quoibion, Belgique 🇧🇪
Expert en transformation numérique des entreprises
Responsable des programmes « Digital Wallonia 4 Business » et « Agriculture du Futur ».
Contribue au développement et à l’évolution de la stratégie numérique pour stimuler le développement du secteur agricole numérique en Wallonie.
En charge de mettre en œuvre des mesures stratégiques pour optimiser la performance des entreprises wallonnes grâce à l’adoption des technologies numériques dans l’Agriculture
Interview avec les membres du NSAG : Digital Wallonia 4 Business
1.Programme Digital Wallonia 4 Business, Agriculture du Futur »
Le programme Agriculture du Futur vise à accroître la maturité numérique du secteur agricole à travers 4 objectifs cruciaux :
– optimisation de la production ;
– l’amélioration des pratiques agricoles ;
– renforcer le lien entre l’agriculteur et le consommateur ;
– le développement des activités commerciales dans les exploitations agricoles.
Capteurs, robots, objets connectés, outils d’aide à la décision et de pilotage… L’agriculture wallonne dispose aujourd’hui d’un panel d’outils numériques connectés pour gagner en compétitivité et mieux respecter l’environnement. L’utilisation de ces outils combinée aux données collectées offre des opportunités à saisir pour les filières agricoles et numériques wallonnes.
Voici les 4 principaux :
Optimiser la production
Le rendement de chaque parcelle d’une exploitation peut aujourd’hui être précisément optimisé dans le respect des sols, du bien-être animal et de l’environnement. On peut par exemple moduler les apports de fertilisants au sein d’une même parcelle en fonction des différences de sols ou détecter certains problèmes de santé animale (hyperactivité…).
- Réduction des tâches physiques pénibles. Exemple : l’utilisation d’un robot de traite offre plus de flexibilité dans le travail et une meilleure qualité de vie.
- Un levier supplémentaire pour réduire l’utilisation des pesticides.
- Sol soigné pour conserver et améliorer son potentiel agronomique.
Opportunités : plusieurs réglementations (Europe, Belgique…) visent à réduire progressivement le recours aux intrants de synthèse et incitent à réinventer des pratiques ancestrales comme le désherbage mécanique. Ces dispositions créent un marché pour la robotisation de l’agriculture.
Améliorer les pratiques agricoles
La collecte et le traitement de données à grande échelle permettent, entre autres, le développement de systèmes prédictifs efficaces pour une amélioration continue des pratiques agricoles.
- L’acquisition de données est un préalable à tout renforcement de la performance économique et environnementale des pratiques agricoles.
- L’agriculteur passe des connaissances acquises au travers de ses expériences empiriques longues et isolées (nous testons et affinons seuls nos pratiques) à l’utilisation de modèles prédictifs à la fois collectifs et efficaces.
l’augmentation du volume et du type de données des exploitations permet également une amélioration des services offerts aux agriculteurs comme l’assurance paramétrique liée à la capture de données en temps réel.
Renouer le lien entre l’agriculteur et le consommateur
La collecte de données tout au long de la chaîne d’approvisionnement agroalimentaire (grâce à des technologies telles que BlockChain ) garantit une traçabilité efficace et transparente. La position de l’agriculteur est renforcée. Le dialogue avec le consommateur est rétabli.
- Le consommateur peut faire un choix éclairé par des informations devenues accessibles comme l’origine d’une graine, les conditions de production ou la parcelle où son produit a été cultivé. Elle peut agir sur l’impact sociétal et environnemental de ses achats.
- Identifiable, le producteur peut s’adresser directement au consommateur. Il peut plus facilement justifier le prix d’un produit et le faire payer davantage pour une meilleure qualité et des pratiques plus vertueuses.
- Le développement des circuits courts est encouragé.
Opportunité : Pour faciliter ce dialogue, l’agriculteur doit développer ses compétences en communication en ligne. Des formations et des conseils spécifiques doivent être développés.
Développer les activités commerciales des exploitations agricoles
La combinaison de leur connaissance du secteur agricole et de l’essor du numérique offre aux agriculteurs de nombreuses opportunités commerciales : promotion et réservation d’hébergements ou de chambres d’hôtes à la ferme, vente en ligne, développement de produits et services spécifiques au métier d’agriculteur, etc.
- L’agriculteur prend conscience de ses compétences entrepreneuriales et valorise le potentiel de son exploitation.
- L’agriculteur, en tant que spécialiste de son métier, dicte l’innovation en fonction de ses besoins spécifiques. Sa position est renforcée.
pour maximiser ses chances de réussite, l’agriculteur doit être accompagné dans sa démarche entrepreneuriale. Il existe également une large gamme de formations et un métier spécifique de conseil à développer.
2. Quelle est la plus grande réussite du « Programme Digital Wallonie 4 Entreprises, Agriculture du Futur » jusqu’à présent dans la transition numérique verte ?
Dans le cadre de Digital Wallonia et du Plan de Relance Wallon, le Gouvernement wallon a validé un budget de 7.052.072 euros afin d’ accélérer l’adoption et le déploiement du numérique au sein du secteur agricole. Sept projets ont été sélectionnés. La thématique de l’environnement et des pratiques agricoles plus durables est évidemment fortement prise en compte dans ces différents projets.
Le projet Duratechfarm vise à mesurer l’impact du SmartFarming sur la consommation d’intrants ayant un impact sur l’environnement (engrais, pesticides, carburant, etc.) par rapport à l’impact sur la production (en quantité et en qualité). Par ailleurs, les leviers agronomiques prioritaires du projet sont la gestion de l’irrigation et la teneur en carbone des sols qui sont 2 enjeux environnementaux majeurs.
Un autre projet, le projet Sunshine lui-même, concerne la plus grande autonomie fourragère résultant de l’utilisation de l’OAD qui aura un impact environnemental positif important à travers une meilleure valorisation des ressources fourragères en quantité et en qualité, une réduction des apports externes (concentrés, N pour les prairies riches dans les légumineuses) et de facto les impacts environnementaux directs et indirects liés à cette importation (ex : réduction des gaz à effet de serre émis lors de la production et du transport de ces intrants). Il contribue également, en soutenant le maintien des écosystèmes de prairies, à lutter par exemple contre le réchauffement climatique par un stockage accru de C, l’érosion des sols par le maintien d’une couverture permanente, la pollution des ressources en eau par les nitrates. ou encore l’érosion de la biodiversité.
3. Quelle est selon vous la valeur ajoutée du projet de la DG VET par rapport au matériel de formation existant pour la transition vers une économie verte-numérique ?
La publication Green Deal de la Commission européenne souligne la nécessité d’une économie verte européenne plus intelligente et plus résiliente, en mettant particulièrement l’accent sur l’amélioration des compétences, de la recherche et de l’innovation. Le projet de la DG-VET s’aligne parfaitement sur cette vision, dans la mesure où ses résultats et ses activités sont conçus de manière stratégique pour offrir un soutien, des conseils et des informations adaptables sur la manière dont ces réalisations peuvent être étendues et reproduites dans diverses régions européennes. En outre, le matériel de formation innovant et la plateforme interactive d’apprentissage en ligne de la DG-VET constituent des outils importants pour les parties prenantes et les décideurs politiques européens. Ces ressources contribuent de manière significative à faire avancer la cause du soutien et de la promotion de l’inclusion sociale et de l’emploi des jeunes/femmes NEET dans les secteurs émergents de l’économie numérique et verte. Cette initiative vise donc à créer un impact notable au niveau européen.
4. Que pensez-vous de la collaboration entre le projet DG VET et « Digital Wallonia 4 Business, Programme Agriculture du Futur » peut-il en bénéficier dans le présent et dans le futur ?
Le projet de la DG-VET, en lien avec le programme « Digital Wallonia 4 Business, Agriculture of the Future », est en passe de générer des bénéfices substantiels présents et futurs. Actuellement, le projet de la DG-VET s’aligne sur les objectifs du Green Deal de la Commission européenne, offrant un soutien et des informations transférables pour la mise à l’échelle et la réplication dans diverses régions européennes. Parallèlement, le programme « Digital Wallonia 4 Business, Agriculture of the Future » accentue la transformation numérique de l’agriculture en Belgique, en s’alignant sur les objectifs plus larges de durabilité et d’innovation. Ensemble, ces initiatives créent un impact synergique, favorisant le développement des compétences, la recherche et l’innovation au sein des secteurs de l’économie numérique et verte. À l’heure actuelle, ils contribuent de manière significative à l’inclusion sociale et à l’emploi, en particulier pour les jeunes citoyens. Pour l’avenir, leurs efforts combinés jettent les bases d’un paysage européen plus résilient, technologiquement avancé et durable, renforçant ainsi la position de la région dans les secteurs numériques et verts mondiaux.
Lorenzo Mari, Luxembourg 🇱🇺
L’innovateur numérique mène la transformation de l’agriculture durable en tant que force derrière LandFriend .
Avec une formation en entrepreneuriat technologique et en gestion informatique, Mari a créé LandFriend en Croatie grâce au financement Erasmus+. Il dirige désormais une équipe dynamique qui révolutionne les relations agriculteurs-consommateurs à travers l’Europe. Passionnée de technologie et de durabilité agricole, Mari vise une révolution numérique dans l’agriculture.
Interview avec des membres du NSAG : LandFriend
« Dis-moi ce que tu manges, et je te dirai ce que tu es » est la célèbre déclaration d’Anthelme Brillat-Savarin en 1826 et documentée dans le livre légendaire « La Physiologie du goût ». Cette expression est non seulement utilisée à outrance et retrouvée dans divers articles sur Internet, mais elle suggère fortement que l’alimentation et la nutrition sont déterminantes pour nous et notre santé, ainsi que pour la santé de notre planète. Savons-nous vraiment ce que nous mangeons ? Ce qui est certain, selon l’Organisation mondiale de la santé, c’est qu’il existe encore d’importantes lacunes dans les connaissances en matière d’alimentation, de nutrition et de santé qui doivent être comblées.
En 2016, LandFriend a lancé son défi pour surmonter ce problème et a créé le premier Hub pour connecter les agriculteurs avec les consommateurs à travers l’Europe. LandFriend se positionne comme un intermédiaire interactif entre les produits originaux d’agriculteurs passionnés et les consommateurs finaux désireux de découvrir et de savourer les traditions alimentaires.
Selon le dernier rapport publié par l’agence européenne Chafea , 73 % des gens ne savent pas où trouver des produits traditionnels et authentiques. Le manque de connaissances concerne donc non seulement les aliments que nous devrions consommer de préférence, mais également les producteurs cachés dans la chaîne alimentaire complexe. La mission de LandFriend est d’augmenter la visibilité des agriculteurs et de révolutionner la façon dont ils se promeuvent sur le marché. Grâce à sa plateforme, LandFriend offre un espace virtuel unique et interactif où les agriculteurs peuvent partager leurs histoires et vendre leurs traditions, et où les consommateurs peuvent trouver les produits de qualité qu’ils recherchent chez eux ou en voyage.
D’après les données fournies par Farm Data Network Europe 2017, la marge bénéficiaire des agriculteurs de l’UE a diminué de 15 % à 4 % au cours des 25 dernières années. Malheureusement, cela signifie que les jeunes générations d’agriculteurs européens n’envisagent plus l’avenir du secteur agricole.
LandFriend s’engage à créer un impact social en éliminant les barrières de communication grâce à la technologie et en devenant un point de référence pour les agriculteurs et les consommateurs de toute l’Europe.
2. Quel est pour vous le plus grand succès que LandFriend ait obtenu jusqu’à présent dans votre domaine de compétence ?
Lorenzo Mari, fondateur de LandFriend , a présenté son idée de projet en mars 2015 lors d’un événement européen organisé à la Tag Innovation School de Milan. Diplômé en informatique à Turin, développeur Web au Parlement européen, puis responsable informatique, il a pu imaginer comment la plupart des problèmes pourraient être résolus en exploitant le potentiel de la technologie.
« LE SECRET POUR AVANCER EST DE COMMENCER. »
Dans un monde où la mondialisation est devenue dominante, les gens ressentent le besoin de faire revivre des traditions disparues en redécouvrant chaque produit comme un symbole du territoire dont il est originaire – ou qu’ils ont visité – ou qui les passionne. Mari a présenté son idée au programme de financement Erasmus pour jeunes entrepreneurs promu par la Commission européenne, qui encourage les jeunes projets à développer leurs idées. LandFriend a été sélectionné et financé avec succès pour une période de cinq mois en tant que partenaire de projet de l’ Ecomuseum en Croatie, une ONG qui promeut la culture et le tourisme d’Istrie en mettant en valeur les petits agriculteurs et leurs produits et en organisant des événements.
Après avoir mené une étude de marché approfondie sur le territoire croate, LandFriend a été officiellement enregistrée en tant qu’organisation croate à Dignano (Istrie) en novembre 2016. Depuis lors, une petite équipe de jeunes experts basés à Bruxelles, en Croatie et en Italie ont travaillé ensemble pour construire le l’identité de la marque et le système LandFriend .
En octobre 2017, LandFriend a été sélectionné pour participer à un bootcamp de six mois organisé par le Microsoft Innovation Center à Bruxelles, favorisant l’innovation mettant en œuvre la technologie de l’IA dans le système.
En novembre 2017, LandFriend a présenté son système innovant lors du Web Summit à Lisbonne.
En 2020, une collaboration avec EIT Food et Growzer visait à renforcer la présence de LandFriend auprès des agriculteurs et des marchés locaux de Gand.
La persistance de la sécurité alimentaire et les défis de durabilité dans la chaîne d’approvisionnement européenne constituent une menace importante et permanente tant pour les entreprises agricoles que pour les consommateurs. Reconnaissant l’importance primordiale de la santé des entreprises agricoles et des consommateurs pour l’industrie agricole et alimentaire, le futur défi de LandFriend réside dans la formation d’un groupe de parties prenantes des agriculteurs de cartographie de l’UE. L’objectif est de concevoir une stratégie globale au niveau européen, représentant les agriculteurs, les détaillants, les grossistes et les consommateurs communautaires de produits alimentaires. Cette initiative implique la création et la gestion du European Mapping Hub, qui sert de référentiel pour les données de base sur les aliments et facilite la transmission des données des agriculteurs aux consommateurs.
3. Quelle est selon vous la valeur ajoutée du projet de la DG VET par rapport au matériel de formation existant pour la transition vers une économie verte-numérique ?
Le projet de la DG VET joue un rôle central dans la transition en cours vers une économie numérique verte. Son engagement à fournir du matériel de formation de qualité s’aligne parfaitement avec les besoins changeants des industries, y compris l’agriculture. La valeur ajoutée du projet de la DG VET dans ce contexte réside dans l’accent mis sur l’adaptation du matériel de formation pour répondre aux défis et opportunités spécifiques présentés par l’économie numérique verte. En intégrant des connaissances actualisées et en favorisant le développement des compétences, la DG VET veille à ce que les individus soient bien équipés pour naviguer et contribuer de manière significative au paysage évolutif des pratiques durables, des technologies numériques et des considérations écologiques.
4. De quelle manière pensez-vous que la collaboration entre le projet DG VET et LandFriend peut bénéficier dans le présent et dans le futur ?
La collaboration entre la DG VET et LandFriend est mutuellement bénéfique dans le présent et très prometteuse pour l’avenir. La DG VET apporte son expertise dans l’élaboration de matériels de formation pertinents et efficaces, en les alignant sur les besoins de l’économie numérique verte. LandFriend apporte son expérience pratique et ses connaissances concrètes du terrain, garantissant que les supports de formation ne sont pas seulement théoriques mais ancrés dans les défis auxquels sont confrontés les agriculteurs. Cette collaboration enrichit l’écosystème de formation, offrant aux apprenants une compréhension globale de l’agriculture durable à l’ère numérique. À l’avenir, ce partenariat peut ouvrir la voie à une amélioration continue, dans la mesure où la DG VET peut adapter ses supports en fonction de l’évolution du paysage façonné par des initiatives telles que LandFriend , créant ainsi un cadre éducatif et politique dynamique et réactif pour une innovation numérique dans le secteur agricole.
Alicia Gabán Barrio, L'Europe 🇪🇺
Alicia Gabán Barrio – Responsable des communications et des projets
EARLALL – Association européenne des autorités régionales et locales pour l’apprentissage tout au long de la vie
Alicia Gabán Barrio a rejoint l’ Association européenne des autorités régionales et locales pour l’apprentissage tout au long de la vie en tant que chargée de communication et de projet en 2022 . Dans son rôle, elle est responsable de la stratégie de communication d’EARLALL et des activités de communication du projet LCAMP : Learner Centric Advanced Manufacturing Platform for CoVEs , entre autres. Avant cela, elle a travaillé pour une grande variété d’associations européennes dans les secteurs des médias, des affaires, de l’éducation et de l’environnement. Elle a plus de six ans d’expérience professionnelle dans la communication d’entreprise et dans des projets financés par l’UE. Elle a notamment travaillé pour le Forum européen de l’enseignement et de la formation techniques et professionnels ( EfVET ) où elle a acquis une bonne compréhension des politiques européennes d’enseignement et de formation professionnels et d’apprentissage tout au long de la vie ainsi que de la gestion de projets européens. Alicia est titulaire d’un master en communication et études des médias de la Vrije Universiteit Brussels (VUB, Belgique) et d’un baccalauréat en journalisme de la Complutense . Université de Madrid (Espagne). Elle parle couramment espagnol, anglais et français.
Entretien avec des membres du NSAG : EARLALL
1. Veuillez nous en dire plus sur le parcours d’EARLALL.
L’ Association européenne des autorités régionales et locales pour l’apprentissage tout au long de la vie (EARLALL) a été créée en 2001 à l’initiative d’autorités régionales et locales de toute l’Europe, désireuses de construire une coopération solide dans le domaine de l’apprentissage tout au long de la vie.
EARLALL estime que les régions et les autorités locales ont un rôle privilégié dans la conception et la mise en œuvre de stratégies d’apprentissage tout au long de la vie, car elles sont en contact direct avec les citoyens, les établissements d’enseignement et l’environnement des entreprises.
2. Quel est pour vous le plus grand succès qu’EARLALL ait obtenu jusqu’à présent dans votre domaine de compétence ?
La grande réussite d’EARLALL est d’avoir créé une association construite par et pour ses membres. EARLALL sert de plateforme d’échange de bonnes pratiques, à travers ses groupes de travail , initiatives ou événements , sur des questions axées sur l’apprentissage tout au long de la vie.
Notre réseau réagit rapidement aux évolutions de l’UE, comme le montre notre réponse à l’ Année européenne des compétences . EARLALL a créé une Académie afin que ses membres puissent être formés à différentes compétences, telles que la rédaction efficace de projets européens, les opportunités du Nouveau Bauhaus européen ou la formation aux compétences en communication, pour n’en citer que quelques-unes. Par ailleurs, en juin 2023, plus de 50 représentants de collectivités locales se sont réunis à Bruxelles pour partager leurs meilleures pratiques et échanger leurs expériences en matière d’apprentissage tout au long de la vie, ce qui a constitué une étape importante dans la trajectoire d’EARLALL et a fixé nos priorités stratégiques pour la période 2023-2028 ( voir ici ). Un autre de nos succès est notre gamme de projets européens qui présentent des solutions non seulement pour nos régions mais aussi pour les personnes qui y vivent. C’est pourquoi les thématiques sélectionnées visent toujours à aider leurs citoyens en améliorant les compétences dans des secteurs stratégiques (comme le LCAMP sur les compétences manufacturières avancées), en soutenant la rétention des talents en milieu rural ( Stride4Stride ) ou l’intégration des migrants ( TALENTs, ou FIER et nouveau projet Interreg Europe – SALAM:Sustainable Accessibilité au marché du travail ).
3. Quelle est selon vous la valeur ajoutée du projet de la DG VET par rapport au matériel de formation existant pour la transition vers une économie verte-numérique ?
Aujourd’hui, les compétences vertes sont essentielles pour parvenir à un cadre de vie durable et respectueux de l’environnement. Pour y parvenir, nous devons former les jeunes et les adultes en concevant des programmes de formation à ces compétences. Ces programmes doivent être conçus selon une approche d’apprentissage tout au long de la vie. Un exemple auquel la DG VET s’attaque est la modernisation du secteur agricole en apportant de nouveaux matériaux à ce qu’on appelle l’agriculture 4.0. Cela peut être bénéfique pour un secteur qui a besoin de se renouveler et où les personnes qui y travaillent n’ont pas suffisamment de temps pour le faire. Le contenu en ligne peut les aider à y parvenir, car la flexibilité est la clé pour se former à de nouvelles compétences. L’une des nouveautés présentées par la DG VET est l’intégration de l’intelligence artificielle dans la formation, qui peut être utilisée comme un outil innovant pour toucher la jeune génération vivant dans les zones rurales. La DG VET va encore plus loin en formant les formateurs.
4. De quelle manière pensez-vous que la collaboration entre le projet DG VET et EARLALL peut être bénéfique dans le présent et dans le futur ?
En février 2024, EARLALL a organisé un webinaire sur les compétences et les besoins du secteur agricole . Lors de ce webinaire, il est devenu clair que pour surmonter les barrières du secteur , la coopération entre les différents acteurs impliqués était essentielle. Par conséquent, la coopération entre la DG VET et les membres d’EARLALL peut être très bénéfique, car elle aborde des sujets d’intérêt pour nos membres tels que les compétences numériques et vertes des jeunes NEET des zones rurales.
Daniel Holzer, Autriche 🇦🇹
Daniel Holzer, professionnel avant-gardiste de la gestion du développement durable et de l’innovation, enrichit actuellement l’équipe de bit management Beratung GmbH en tant que responsable de l’unité commerciale PROCEED. Son parcours académique, qui comprend une maîtrise en études mondiales et un programme de doctorat interdisciplinaire en cours à l’Université Karl-Franzens de Graz, se concentre sur les diverses perceptions et applications des pratiques de l’économie circulaire dans divers secteurs industriels.
Avec une riche expérience dans la gestion et la mise en œuvre de divers projets comme Erasmus+, Interreg et FFG, l’expertise de Daniel réside dans le conseil, les services et le développement de projets en matière d’entreprises circulaires. Son rôle chez PROCEED souligne son engagement à faire progresser les modèles commerciaux durables et à favoriser l’innovation au sein de l’industrie.
Entretien avec des membres du NSAG : Beratung GmbH
Parcours de gestion des bits Beratung GmbH
Fondée en 1996, la société bit management Beratung GmbH, élément clé du plus grand groupe bit, est une force leader en matière de formation et de conseil en Autriche. Leur travail s’étend sur divers domaines, notamment l’entrepreneuriat, le conseil pédagogique, ainsi que l’environnement et la durabilité. L’intégration de CPC Austria GmbH en 2015 a notamment marqué une amélioration stratégique axée sur l’économie circulaire. La création de PROCEED en 2020 a souligné cette orientation, en mettant en commun plus de deux décennies d’expérience en matière de conseil et de formation vers des objectifs écologiques et économiques.
2. Le plus grand succès de la gestion des bits Beratung GmbH
La réalisation marquante de bit management Beratung GmbH est son pivot stratégique vers les secteurs de l’environnement et de la durabilité, notamment avec la création de l’unité PROCEED. Cette décision souligne leur engagement à intégrer la durabilité économique et écologique via des projets innovants d’économie circulaire. PROCEED excelle dans la recherche, le conseil, les services de formation et le développement de projets, en se concentrant sur l’économie circulaire et la durabilité aux niveaux national et international.
Projets clés :
- CASCADE (Creating Awareness and Skills for Circular Approaches in the Digital Economy) : Donner aux PME des services numériques les moyens de développer des solutions d’économie circulaire basées sur l’informatique. cascade-circulaire.eu
- CLAY (Closing the Loop Along with the Youth) : Développer un « Indice de Comportement Circulaire » et une formation numérique pour les jeunes. projet-argile.eu
- Sen4CE (seniors for Change) : fournir une éducation aux adultes sur l’économie circulaire pour soutenir des sociétés durables. sen4ce.eu
L’implication de bit management dans ces projets importants, ainsi que son vaste réseau international, jouent un rôle crucial dans la promotion de la transformation industrielle vers la durabilité.
3. Valeur ajoutée du projet de la DG VET par rapport au matériel de formation existant pour la transition vers une économie verte-numérique ?
Le projet de la DG VET offre une valeur ajoutée significative en fournissant des compétences importantes aux NEET de manière ludique, en contribuant à renforcer la confiance en soi et en rendant le processus d’apprentissage engageant. Le projet cible spécifiquement les besoins des NEET, tels qu’identifiés grâce à un questionnaire complet, en se concentrant sur des domaines tels que la capacité d’adaptation, la motivation, la persévérance, l’apprentissage par l’expérience et l’initiative. De plus, il met l’accent sur le développement de compétences en matière d’attitude, d’ouverture d’esprit, de réseautage, d’économie d’énergie et d’économie d’eau. L’adaptabilité du projet aux préférences des NEET hommes et femmes, y compris ceux qui s’intéressent à la technologie et à la mécanique, souligne son approche globale du développement des compétences.
4. La collaboration entre la DG VET du projet et la direction du bit peut-elle être bénéfique aujourd’hui et à l’avenir ?
La collaboration entre le projet de la DG VET et bit management Beratung GmbH présente une opportunité mutuellement bénéfique. Pour la gestion des bits, l’intégration des formations spécialisées de la DG VET axées sur les NEET et leurs méthodes d’apprentissage gamifiées peuvent enrichir leur portefeuille, notamment en favorisant les compétences pour la transition économie verte-numérique. À l’inverse, la DG VET peut tirer parti de la vaste expérience de bit management en matière de développement de projets, de conseil et de formation dans l’économie circulaire. Cette synergie élargirait non seulement la portée et l’efficacité des offres de formation des deux entités, mais amplifierait également leur impact dans la promotion d’une transformation industrielle durable et la réponse aux besoins changeants de la main-d’œuvre d’aujourd’hui.
Krasimira Damyanova, Bulgarie 🇧🇬
Krasimira est diplômée de l’Université d’économie de Varna, l’université la plus innovante de Bulgarie. Il s’agit de la première école supérieure de commerce de Bulgarie. Son baccalauréat est en théorie économique générale tandis que sa maîtrise est en économie agricole.
Krasimira possède une expérience dans divers domaines concernant tous les compétences fondamentales en matière de numérique, d’environnement et de marketing au sein des principaux secteurs de l’économie nationale.
Entretien avec des membres du NSAG : EARLALL
- Veuillez nous en dire plus sur votre parcours scolaire et professionnel.
Mon parcours éducatif a commencé à l’Université d’économie de Varna, réputée pour son approche innovante de l’éducation en Bulgarie. J’ai poursuivi un baccalauréat en théorie économique, ce qui m’a fourni une base solide dans la compréhension des principes et de la dynamique économiques. Ensuite, j’ai poursuivi mes études avec un master en économie agricole, ce qui m’a permis d’approfondir l’intersection de l’économie et de l’agriculture, un secteur crucial de l’économie bulgare. Tout au long de ma carrière, j’ai eu l’opportunité de travailler dans différents secteurs sur différents postes tels que le tourisme, le conseil privé sur les opportunités d’emploi ainsi que des postes de gestion et de comptabilité dans différentes PME agricoles. Tous les rôles ont également intégré et amélioré mes connaissances en analyse économique et en gestion d’initiatives de développement durable. J’ai mis à profit mon expertise économique pour identifier les opportunités de croissance et de développement. Qu’il s’agisse d’analyser les tendances du marché, de mettre en œuvre des pratiques vertes ou d’élaborer des stratégies de marketing, j’ai toujours eu pour objectif de contribuer au développement durable de l’économie.
- Quelle est la plus grande réussite que vous ayez obtenue jusqu’à présent dans votre domaine de compétence ?
Alors que la Bulgarie continue de faire face aux complexités d’une économie mondiale en évolution rapide, il est incontestablement nécessaire de créer des mécanismes pour relever les défis auxquels nous sommes confrontés. Adopter la numérisation offre le potentiel d’ouvrir de nouvelles voies de croissance, d’améliorer la compétitivité et de favoriser un développement inclusif. En outre, la durabilité reste une question urgente, nécessitant des efforts concertés pour lutter contre la dégradation de l’environnement, promouvoir l’efficacité des ressources et la transition vers une économie agricole à faibles émissions de carbone. C’est pourquoi ma plus grande réussite pourrait être la capacité de créer une vision de gestion durable dans toutes les activités professionnelles que j’ai initiées.
- Selon vous, quelle est la valeur ajoutée du projet de la DG VET par rapport au matériel de formation existant pour la transition vers une économie verte-numérique ?
En tant qu’expert qui suit le projet de la DG-VET depuis le tout début, je peux évaluer le résultat global comme étant très innovant, offrant un ensemble complexe de modules qui fournissent une base solide aux jeunes et aux femmes NEET pour faire leurs pas dans le numérique et l’environnement. secteurs de l’économie. De plus, la plate-forme proposant des offres d’emploi de recherche/publication est très appréciée au niveau national, car nous n’avons pas beaucoup de sites Web/applications offrant une telle option. En avoir un exclusivement destiné au marché du travail agricole apporte une valeur ajoutée au contexte national.
- De quelle manière pensez-vous que la collaboration entre le projet de la DG VET et les organisations de votre réseau peut bénéficier aujourd’hui et à l’avenir ?
Le principal avantage mutuel que je peux souligner est l’opportunité future de promouvoir la plateforme d’apprentissage en ligne et la fonction de recherche/publication d’offres d’emploi auprès de nombreuses PME agricoles qui pourraient être intéressées à l’exploiter davantage. Je suis convaincu que cela contribuera au plus grand impact possible du projet de la DG-VET. Comme je le sais, le projet est presque terminé, mais les livrables produits peuvent être continuellement partagés avec un large public.
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